
Les pommes sont non seulement l’un des fruits les plus populaires, mais aussi l’un des plus nutritifs. Les pommes sont l’un des fruits les plus riches en fibres alimentaires et en composés polyphénoliques qui s’associent aux microbes intestinaux pour créer un environnement susceptible de réduire le risque de cancer. Il est prévu que cet environnement réduise le risque de plusieurs cancers spécifiques, notamment les cancers du poumon, de l’intestin, de la bouche, du tube digestif et du sein, par rapport aux personnes qui ne consomment pas de pommes régulièrement. Multiples effets bénéfiques des polyphénols de pomme, notamment des effets antiprolifératifs, apoptotiques et antioxydants. Ces données suggèrent que les polyphénols de pomme pourraient avoir le potentiel de réduire le risque de plusieurs formes de formation de cancer et de métastases (88).
Les molécules de flavonoïdes de pomme sont non seulement capables de tuer sélectivement diverses cellules de cancer du sein dans des tubes à essai, mais qu’elles ont également montré qu’elles pouvaient ralentir la prolifération, la migration et l’invasion des cellules cancéreuses.
Il était intéressant d’observer que les flavonoïdes de pomme étaient cytotoxiques pour les cellules de cancer du sein triple négatif, un type de cellule cancéreuse difficile à traiter avec les chimiothérapies actuellement disponibles (89).
Chaque portion est riche en fibres, en potassium et en vitamine C, autant d’éléments qui peuvent favoriser le rétablissement du cancer. Les fibres contenues dans les pommes favorisent la régularité et le bon fonctionnement de l’appareil digestif (60). La vitamine C contenue dans les pommes agit également comme antioxydant pour soutenir la fonction immunitaire et lutter contre la croissance des cellules cancéreuses. Outre la prévention des tumeurs, les pommes peuvent également favoriser le rétablissement du cancer. La quantité de potassium contenue dans les pommes peut avoir un effet positif sur l’équilibre des fluides et prévenir la rétention d’eau, qui est un effet secondaire courant de la chimiothérapie (60,90).
Ils peuvent être utilisés pour le petit-déjeuner, le déjeuner, le dîner, le dessert et, bien sûr, pour un en-cas entre les repas (90).